top of page

Press review

Le Monde

21 novembre 2019

Plus de 350 ans après sa création, cet Ercole Amante a conquis Paris.

Le Figaro

7 novembre 2019

Le spectacle dirigé par Raphaël Pichon et mis en scène par Christian Hecq et Valérie Lesort parvient à rendre justice à parts égales à toutes les facettes d'une œuvre multiple.

La Croix

7 novembre 2019

Cet Hercule amoureux sonne merveilleusement !

Les Echos

6 novembre 2019

Raphaël Pichon dirige avec l'enthousiasme et la méticulosité qu'on lui connaît un orchestre Pygmalion royal et ivre de couleurs.

Diapason

6 novembre 2019

De la fosse, Raphaël Pichon conforte ses solistes aux moments délicats, électrise les forces de Pygmalion. Pas une mesure à l'orchestre sans ce tranchant, cet élan désormais typiques, et chaque chœur est un régal.

WDR

9 septembre 2019

Hier wird so lebendig, sensibel und gleichzeitig so natürlich musiziert, dass man sich nur wünschen kann, dass bald auch die drei grossen Opern unter Pichons musikalischer Leitung folgen mögen.

The Daily Telegraph

24 août 2019

This release is a marvel!

Le Point

9 juillet 2019

Le metteur en scène Romeo Castellucci et le chef d'orchestre Raphaël Pichon signent un Requiem de Mozart époustouflant au festival lyrique d'Aix-en-Provence.

Financial times

8 juillet 2019

Mozart's Requiem becomes a revelation at Aix-en-Provence Festival. (...) Mozart's score is given a graceful performance by the French historical practice ensemble Pygmalion, led by Raphaël Pichon.

Figaro

4 juillet 2019

En ouverture du festival, Romeo Castellucci et Raphaël Pichon signent une splendide méditation sur la beauté du monde et sa désintégration. Il y a des spectacles après lesquels on se sent heureux.

Deutschlandfunk

4 juillet 2019

Die musikalische und körperliche Leistung der Choristen und Solisten kann nur in höchsten Tönen gelobt werden. 

Le Monde

3 juillet 2019

Portrait de Raphaël Pichon : "Le Requiem de Mozart avait vraiment vocation à devenir un spectacle."

Télérama

13 février 2019

Ce fut, en continu, un festival de splendeurs instrumentales et chorales.

Volkskrant

24 janvier 2019

Zoals een dj speelt met samples, zo maakt Raphaël Pichon een fantastische mix van opera’s in Stravaganza d’amore (vijf sterren)

Télérama

18 octobre 2018

Orphée et Eurydice offre donc un rare bonheur vocal, qui s'élargit à l'ensemble de la distribution musicale. On admire de bout en bout le chœur de l'ensemble Pygmalion, capable de chanter clair et juste dans les positions les plus inconfortables. Sous la direction enfiévrée de Raphaël Pichon, l'orchestre semble littéralement transporté par la partition de Gluck.

La Croix

18 octobre 2018

Conduites avec ardeur mais aussi une suave délicatesse (les dernières secondes du spectacle nous transportent dans une autre dimension...) par Raphaël Pichon, les forces musicales sont irréprochables.

Les Echos

17 octobre 2018

Dans la fosse et sur scène, le chœur et l'orchestre Pygmalion se montrent exemplaires de justesse, d'homogénéité, de couleur et de nuance. On admire autant la netteté des voix que l'élégance des phrasés des vents (flûtes, bassons) menés avec un sens milliétré de la narration et du contraste par Raphaël Pichon.

Le Monde

15 octobre 2018

Tel Orphée, Rapha¨el Pichon va chercher la musique jusqu'aux tréfonds du son, en extrait le minerai du deuil, allégeant le sombre de la douleur en l'arpégeant d'espoir.

Concertclassic.com

15 octobre 2018

Quant à Pygmalion, pour sa partie chœur, l'ensemble force l'admiration tant par la qualité de son interprétation que son engagement dans une production scéniquement exigeante. Dans la fosse, Raphaël Pichon peut compter sur des instrumentistes d'un niveau exceptionnel et sonde la partition avec une poésie, une noblesse et un sens du drame simplement bouleversants.

Bachtrack

15 octobre 2018

Casting mêlant grandes stars et jeunes talents, mise en scène pleine d'épure, de sensibilité et de fulgurations géniales, et Raphaël Pichon à la tête d'un irréprochable ensemble Pygmalion : à l'Opéra-Comique, la nouvelle production d'Orphée et Eurydice de Gluck est en tout point exemplaire.

Opera online

19 juillet 2018

A la tête de son Ensemble Pygmalion, le jeune chef français Raphaël Pichon propose un véritable festin instrumental (...). Impossible de décrocher de cette lecture ductile, qui réussit à paraître ni maniérée ni démonstrative, en dépit de son originalité.

 

Cult-zeitung.de

17 juillet 2018

Und so gelingt es dem 34-jährigen Dirigenten ebenso wie McBurney, ein Gefühl der Unabdingbarkeit zu erzuegen - so und nicht anders muss Moart klingen - zu dem ganz gewiss auch die historischen Instremente des Ensembles beitragen.

Le Monde

15 juillet 2018

Cette flûte restera dans les annales pour la présence de l'Ensemble Pygmalion et son chef, Raphaël Pichon. Un Mozart fluide et naturel, qui vit et respire avec une spontanéité semblant se jouer d'elle-même, alliance de vivacité, de poésie, de rondeur, d'intelligence et de fraîcheur. Sous la baguette de Pichon, le cœur immortel de Mozart.

Télérama

9 juillet 2018

Après quelques minutes de tour de chauffe dans l'ouverture, (...) l'orchestre s'épanouit comme un grand cru, libérant tous ses arômes, adaptant les dynamiques à l'action, accompagnant chaque personnage avec une véritable empathie. Bravo !

La Revue du spectacle

9 juillet 2018

L'un des sommets de la soirée, c'est aussi l'orchestre de l'Ensemble Pygmalion, dirigé par son fondateur Raphaël Pichon. (...) Les pupitres de l'Ensemble Pygmalion nous ont fait vivre la plus bouleversante des soirées.

 

Bachtrack

8 juillet 2018

Pichon's playing engenders the same feeling of rightness as McBurney's production, the feeling that Mozart's music should not be played any other way.

Olyrix

7 juillet 2018

La direction musicale de l'ensemble et des chœurs Pygmalion est due à un maître de cérémonie lyrique totalement investi, le jeune chef Raphaël Pichon. (...) Les couleurs historiques des instruments jouent une palette originelle tout en regardant vers l'avenir. Le chœur y ajoute ses volumes colorés, en parfaite continuité avec la scène et la fosse.

Forumopera.com

6 juillet 2018

Cette magie naturelle, on la retrouve dans la direction de Raphaël Pichon, dont l'exploration mozartienne trouve ici l'une de ses formes les plus abouties.

Classica

Avril 2018

On signalera la perfection de la mise en place, la justesse absolue et une intensité expressive de chaque instant.

Süddeutsche Zeitung

28 mars 2018

Raphaël Pichon ist der derzeit beste Bach-Dirigent

Bayerisches Rundfunk

25 mars 2018

Mit "Enfers" gelingt Raphaël Pichon wieder einmal ein meisterlih inszeniertes Album voller barocker Abgründe.

La Croix

18 mars 2018

Disque concept mais disque formidable ! Le chef Raphaël Pichon et le baryton Stéphane Degout sont des musiciens dont l'intelligence le dispute au talent.

ResMusica

16 mars 2018

Au firmament du paysage mmusical baroque depuis plus de dix ans, Pygmalion nous a offert de somptueuses interprétations de Bach et de Rameau. On l'attendait moins chez Mozart, mais c'est bien vers un sommet spirituel qu'il nous fait voyager ce soir.

The Times

9 mars 2018

Helped by the recording's acoustic, everything here sounds deliciously spine-chilling, from the growls and twangs of Pygmalion's period instruments to Degout's throbbing anguish and the passionate outpourings of the French mezzo-soprano Sylvie Brunet-Grupposo.

Télérama

7 mars 2018

Entre profane et sacré, lumière et ténèbres, une manière de requiem qui a un goût de paradis.

Libération

6 mars 2018

Un nouvel album concept de haute technicité, comm Raphaël Pichon sait les concocter.

Opera Magazine

Mars 2018

Pichon et ses complices confèrent à chaque air ses contrastes et ses couleurs, à chaque phrasé ses tensions, des angoisses et terreurs du début à l'apaisement final. Des pages sombres, dramatiques, magnifiées par une vision théâtrale qui empoigne l'auditeur pour ne plus le lâcher (le chœur est un modèle de finesse et d'homogénéité).

ResMusica

26 janvier 2018

La lecture magistrale de l'Ensemble Pygmalion y est pour beaucoup dans ce travail de décapage et de redécouverte, et l'on aurait presque envie de nommer tous les instrumentistes (...) tant le mérite semble revenir en grande partie à l'esprit de groupe et de communion qui anime les interprètes.

Forumopera.com

16 janvier 2018

L'Ensemble Pygmalion est ce soir d'une exubérance rythmique et d'une gourmandise harmonique incroyables, cherchant à porter cette musique à son point d'incandescence, entraînés par Raphaël Pichon dont la baguette précise est outil d'orfèvrerie.

Olyrix

12 janvier 2018

L'orchestre sous la direction de Raphaël Pichon est hautement expressif (...) Avec l'ensemble Pygmalion comme partenaire de rêve, Stéphane Degout est libre de déployer tout son art.

La Figaro

10 janvier 2018

Raphaël Pichon est incontournable, tout simplement. (...) Chacun de ses projets est pensé, ciselé, l'intelligence de la conception des programmes le disputant à la perfection de la réalisation, tant au concert qu'au disque.

Classiquenews.com

25 novembre 2017

On ne peut qu'admirer le travail préparatoire réalisé en amont tant avec le chœur qu'avec l'orchestre. Orchestre qui se montre d'ailleurs absolument remarquable en tous points : introductions parfaites, accompagnement tout en souplesse, direction souple, précise, dynamique.

Télérama

29 septembre 2017

Quant au chœurs de Pygmalion, ils se sont montrés, peut-être encore plus que d'habitude, au-dessus de tout éloge.

ResMusica

29 septembre 2017

En fosse, l'Ensemble Pygmalion est à son apothéose : tout simplement sublime. (...) Le rendu collectif est admirable sous la baguette de Raphaël Pichon.

Le Monde

29 septembre 2017

Toutes musiques que l'ensemble Pygmalion joue avec un art merveilleux : orchestre aux sonorités riches, chœur frôlant la perfection.

Diapason

28 septembre 2017

A cette pièce un peu froide dans son beau décor, le chœur onctueux et l'orchestre luxuriant de Pygmalion apportent, sous la direction de Pichon, une part de sensualité.

Olyrix

27 septembre 2017

Depuis la fosse, l'Ensemble Pygmalion est une couverture sonore homogène, précise et mélancolique. L'équilibre parfait entre les instruments se reflète sur scène chez les choristes, qui produisent de formidables  nuances.

Opera Online

26 septembre 2017

Raphaël Pichon dirige son ensemble Pygmalion avec le même talent que celui qu'on lui connaît, donnant à Purcell toute sa dimension et son éclat. Les nuances sont présentes, l'équilibre scène et fosse est parfaitement respecté.

Forumopera.com

26 septembre 2017

L'ensemble Pygmalion joue et chante admirablement (...). Dès l'ouverture, les instruments pleurent dans la fosse, et l'on aimerait entendre dans nos églises des chœurs aussi magnifiques que cette assemblée de fidèles.

ResMusica

11juillet 2017

Délice absolu que ce dernier coffret de Pygmalion intitulé à juste titre Stravaganza d'Amore !, vaste fresque historique et lyrique florentine de la fin du XVIème siècle. (...) Pour les amoureux d'opéra ou les autres, cet enregistrement inventif et audacieux se révèle incontournable, assurément.

Opéra Magazine

1er juillet 2017

Encore une fulgurante réussite à mettre au crédit de Raphaël Pichon et son ensemble Pygmalion qui, en l'espace de dix ans, se sont imposés aux tout premiers rangs des formations dites "baroques". A goûter sans modération !

Diapason

1er juillet 2017

Que de splendeurs, à redécouvrir ! Notre jeune chef a réuni un plateau de rêve : sept voix solistes parmi les plus prometteuses de la jeune génération, un chœur aussi solide qu'attentif de vingt-quatre chanteurs, en regard de vingt-cinq instrumentistes éblouissants.

Classica

1er juillet 2017

Raphaël Pichon conduit d'un geste noble et concentré son ensemble Pygmalion, agrémenté d'une superbe formation de cornets et de sacquenoutes, sans jamais tomber dans l'ornière de la virtuosité creuse ou dans celle d'un mouvement anémié.

Télérama

19 juin 2017

Remarquable par sa clarté autant que par son agilité, le chœur de l'Ensemble Pygmalion décompose et recompose son effectif selon les pièces, qui sollicitent aussi des voix solistes, toutes belles et bien caractérisées. (...) En accord avec les voix, l'orchestre se joue avec maestria de la virtuosité de l'instrumentation.

Le Monde

9 juin 2017

Raphaël Pichon, totalement adonné, sert Monteverdi avec une plénitude concentrée et un lyrisme sans abandon. Sobre, tendre et passionné.

Bachtrack

7 juin 2017

Musically, Pichon's interpretation was perfectly judged, with enough grandeur to match this magnificent venue, but keeping things moving fairly swiftly.

Forumopera.com

6 juin 2017

Au-delà du foisonnement des couleurs et des timbres, matière opulente qu'il pétrit avec une sensualité raffinée, Raphaël Pichon imprime à chaque pièce sa juste énergie, dans la jubilation comme dans la plainte.

Brugs Klassiker

4 juin 2017

Raphaël Pichon hat das, gegenüber der dreiviertelrunden Tribüne postiert, bestens im Klanggriff. Sparsam sachlich sind seine Bewegungen, magisch ist das, was sie erzeugen.

Sud Ouest

13 mars 2017

L'ensemble Pygmalion sublime une variété de timbres et de couleurs rare dans les opéras de cette époque, et Raphaël Pichon a, en reconstituant la partition, mis au point un continuo débordant d'imagination.

Concerto.net

5 décembre 2016

Raphaël Pichon ne confond pas l’énergie et la brutalité, la précision et la sécheresse : la direction reste généreuse, rebelle à tout statisme, témoignant d’un sens aigu de l’urgence dramatique.  

Forum Opéra

5 décembre 2016

L’ensemble Pygmalion livre une prestation digne d’admiration, surtout le chœur, autre pilier essentiel de l’œuvre : tous les pupitres en sont impeccables, conciliant à merveille expressivité et pure beauté du son. 

Olyrix

7 décembre 2016

Dans cette œuvre, le Chœur de l'Ensemble Pygmalion, composé d'une quarantaine de chanteurs, est prépondérant. (...) Omniprésent, il est aussi beau dans son dialogue avec les solistes, dans ses interventions a capella que dans les puissants chœurs qui concluent chacune des deux parties de l'opus. 

La Croix

5 décembre 2016

Raphaël Pichon et son ensemble Pygmalion livrent une interprétation d’Elias parfaitement maîtrisée, animée par un souffle d’une rare cohésion. 

Classique mais pas has been

5 décembre 2016

La recette Pichon est un mélange d’hommage rendu à ses aînés et de fougueuse jeunesse. Il était donc totalement dans son élément avec « Elias » de Mendelssohn (1809-1847) : ce dimanche à Bordeaux, le chœur et les musiciens ont pris avec succès ce nouveau virage stylistique qu’ils préparent depuis plusieurs programme et plusieurs disques 

Classiquenews.com

6 décembre 2016

Le théâtre de la vie d’Elias entre grandeur, chute et élévation est romantique. Les moyens orchestraux, vocaux et choraux sont somptueux. Chacun ce soir est parfait. 

Backtrack

17 novembre 2016

 Mit volltönendem, gut ausbalancierten Klang und kernig zugreifendem Spiel ist das verhältnismäßig groß besetzte Orchester von der ersten Minute an überzeugend und rollendeckend. 

ResMusica

13 septembre 2016

Dix ans déjà ! Dix ans que Raphaël Pichon et son ensemble se sont lancés dans l’aventure. Dix ans de travail tant de programmation que d’interprétation. Le premier disque, en 2008, était consacré à deux Messes brèves de Bach. Le succès a été immédiatement au rendez-vous. Succès aussi, pour ce même programme à… La Chaise-Dieu où l’ensemble est invité depuis 2007.

Les BaroquiadeS

10 septembre 2016

Raphaël Pichon a créé à la Chaise-Dieu une composition digne de la nuovo musiche e nuovo maniera di scriverle d’un Caccini et de ses compères qui, en révolutionnant l’écriture musicale, ont contribué à donner le jour à un genre musical nouveau : l’opéra.

Le Figaro

19 juillet 2016

Dans sa version révisée, l'opéra maçonnique de Rameau, où l'intrigue amoureuse est au service de la fable philosophique, est plus resserré, plus original, et ses pages orchestrales formidablement évocatrices en font tout le prix. 

Destimed

18 juillet 2016

Cet ensemble fête ses dix ans d’existence cette année et s’impose comme l’un des meilleurs au monde, voire le meilleur selon les esthètes, dans l’interprétation des œuvres de Bach, Raphaël Pichon, lui, s’imposant à 32 ans comme l’un des spécialistes incontournables du cantor de Leipzig en particulier, ainsi que de la période baroque et post-baroque en général.

Opera Online

16 juillet 2016

L'Ensemble Pygmalion donne ce soir le meilleur de lui-même, par l'âpreté du discours, l'incision sûre de la rythmique, la nervosité de la mélodie et la vérité du style.  

Midi Libre

15 juillet 2016

La démarche musicale de Raphaël Pichon est "un idéal de soif et de curiosité", qui touche tous les répertoires. 

Le Monde

4 avril 2016

C’est aux sources légendaires de l’Allemagne romantique que s’incline Raphaël Pichon dans ce nouvel album qui consacre un parcours où la musique se fait tour à tour enchanteresse ou sauvage, toujours initiatrice. 

Qobuz

29 mars 2016

Merveille qu’une Passion où tous les solistes du chant sont capables de chanter timbré ; de confier au timbre, seule et suprême identité à l’œuvre dans tout chant, le soin de peindre de par ses propres inflexions et nuances les émotions en jeu. 

Bachtrack

25 mars 2016

Bei ihrem Debüt in der Kölner Philharmonie geriet das Opus Summum trotz der Passionsgeschichte Jesu im Vergleich zur Johannespassion, die Pichon etwas zäh gestaltete, zu einem scheinbar anachronistischen Quell erlösender, gottvertrauender Lebendigkeit durch dankenswert angenehme Flüssigkeit, ohne an Tiefe einzusparen. 

Télérama

22 mars 2016

L'ensemble Pygmalion célèbre les « filles du Rhin », qui ensorcelèrent Wagner, Schubert ou Brahms. 

Concerto.net

Le grand vainqueur de cette Passion a été le Chœur Pygmalion, toujours juste, projetant magnifiquement dans la grande Chapelle, constitué manifestement de grandes individualités mais sachant se fondre en un ensemble cohérent et discipliné. 

De Volkskrant

18 avril 2016

Na zijn vrouwenavontuur wil Raphaël Pichon met mannenkelen de Duitse koorzang rond 1900 gaan verkennen. 

Le Monde

17 février 2016

Un plateau vocal homogène avec des chœurs de rêve, un orchestre gorgé de couleurs et de sève, une reconstitution intelligemment recentrée sur la dramaturgie (élimination du prologue allégorique et du chœur final, des ballets) par Raphaël Pichon et Miguel Henry : l’ensemble Pygmalion, qui fêtera ses 10  ans en avril, a, d’ores et déjà, tenu ses belles promesses.

Le Figaro

Un choc musical! C'est certainement ce qu'ont dû ressentir les spectateurs au sortir de la première représentation de l'Orfeo de Rossi le 2 mars 1647, au Théâtre de la reine du Palais-Royal à Paris. 

Télérama

8 février 2016

Un délice, à voir et à entendre !

Forum Opéra

20 février 2016

Dans la fosse, l’opulence des textures et des alliages nous convie à un festin sonore, mais c’est avec un même sens aigu du théâtre que Raphaël Pichon dirige chanteurs et instrumentistes et pétrit cette matière inouïe, l’affinant jusqu’au murmure, jusqu’au silence, mais un silence chargé et infiniment suggestif. 

Opéra Magazine

19 février 2016

De productie van Mijnssen ging op 4 februari in première onder begeleiding van het gerenommeerde Ensemble Pygmalion, geleid door Raphaël Pichon. Speciaal voor de voorstelling had het ensemble nieuwe, korte strijkstokken laten maken, om zo de klank van Rossi nog meer te benaderen. 

La Croix

17 février 2016

Le plateau vocal, homogène, le choeur et l'orchestre Pygmalion dans une forme éblouissante sont dirigés au doigt et à l'oeil par Raphaël Pichon : le talent du chef explose notamment dans les ensembles (...) et les plages instrumentales chatoyantes, ravivant cette italianité baroque qui fit si forte impression sur le tout jeune Louis XIV (...). 

La Libre

8 février 2016

Exhumée à Pérouse en 1984, puis à quelques autres occasions, l’œuvre n’avait jamais été redonnée en France (...). Belle idée de l’Opéra de Lorraine que d’en confier la résurrection au chef (et ex-chanteur) Raphaël Pichon, à la tête d’un Ensemble Pygmalion riche d’une trentaine de musiciens et d’une belle distribution.  

Diapason

8 février 2016

Le spectacle de Jetske Mijnssen repose sur une lecture simplifiée et d'une grande lisibilité. Dans un décor unique en bois, rappelant le théâtre du Globe, évoluent les personnages vêtus de costumes modernes. L'intemporalité de la fable est ainsi préservée, tout en ménageant de belles surprises (...). 

Les Echos

7 février 2016

L’opéra venu d’Italie qui captiva Paris en 1647 brille dans une version ramassée sous la baguette de Raphaël Pichon. Un spectacle magique à ne pas rater à l’Opéra national de Lorraine, puis en tournée. 

ResMusica

7 février 201

Absolu maître d’œuvre de cette recréation, Raphaël Pichon parachève la réussite par sa direction large et souple, constamment attentive à la scène et y répondant par les ambiances adéquates. Son orchestre, l’Ensemble Pygmalion, bénéficiant d’une surélévation de la fosse, offre une plénitude du son, une fusion des timbres et une homogénéité des pupitres auxquelles les formations d’instruments anciens ne nous ont pas toujours habitués. Enfin, le Chœur de l’Ensemble Pygmalion semble se jouer des polyphonies pourtant complexes que Luigi Rossi lui a réservées. 

Toute la Culture

6 février 2016

Voici un Orfeo d'enfer qui nous fait toucher le paradis grâce à l'art lyrique porté à son plus haut niveau. 

ConcertoNet.com

Indéniablement, l’une des plus grandes redécouvertes de la saison.

Forum Opéra

4 février 2016

Troisième pilier du spectacle, l’orchestre luxuriant que dirige Raphaël Pichon. L’émerveillement que causa en 1647 la machinerie de Torelli vient en 2016 des richesses dispensées par l’ensemble Pygmalion, et aux instrumentistes on associera le chœur, particulièrement admirable dans les diverses déplorations que suscite la mort d’Eurydice.  

The Guardian

November 26th 2015

Even amid a recent glut of classy Mozart vocal recordings, this stands out.

Toutelaculture.com

18 novembre 2015

Rigueur, dynamisme, légèreté et clarté caractérisent la façon qu’ont l’ensemble Pygmalion et Raphaël Pichon de servir cette musique à la fois spirituelle et sensuelle (...). L’exécution du motet « Loben den Herrn, alle Heiden » BWV 230, fut particulièrement représentative de cette impression de grâce.

Bachtrack.com

8 novembre 2015

En se laissant emporter par l’enchaînement de ces somptueuses musiques funéraires, on se rend compte que ce qui émeut dans cette soirée, c’est le fait qu’absolument toutes les notes sont habitées, jouées ou chantées avec une expressivité non artificielle, grâce au travail mené très en profondeur par Raphaël Pichon.

Classiquenews.com

7 novembre 2015

Les interprètes convainquent absolument par leur pertinence artistique, comme interprètes immensément doués, comme artistes cultivés capables de concevoir un programme très original, d’une irrésistible cohérence.

Toutelaculture.com

7 novembre 2015

La parfaite cohésion des chœurs et l’atmosphère indescriptible permettent une dimension spirituelle rarement égalée (...). Un concert bouleversant, profond et céleste à la fois.

Qobuz

5 novembre 2015

Dans la sévérité a capella d’une sorte de grégorien gallican, s’est fait entendre le plus auguste chant funèbre qui soit, merveille à la fois d’inspiration et d’exécution. Les admirables chœurs de Pygmalion — Cécile Scheen, Lucile Richardot, Samuel Boden, Marc Mauillon, Christian Immler —, tous il faut les citer, les complimenter, leur dire merci.

La Croix

28 août 2015

Déliées, homogènes, nuancées, gouleyantes, les voix de tous les pupitres (que de jeunes chanteurs et de timbres frais dans les rangs !) séduisent et forcent l’admiration par leur précision autant que par leur poésie.

Concertclassic.com

31 août 2015

(...) les voix si finement dosées des chanteurs de Pygmalion, que Raphaël Pichon manipule avec une grâce aérienne.

BBC Music Magazine (United Kingdom)

June 30th 2015

Ensemble Pygmalion has un uncommon sense of drama (...) this is a compelling and polished performance.

Concertclassic.com

18 juin 2015

Très attendue, Sabine Devieilhe illumine la soirée de son timbre de rêve certes, mais surtout par l’intelligence musicale de ses interventions – quel écrin merveilleux les bois lui tissent-ils pour un fabuleux Et incarnatus est…

Classica (France)

Juin 2015

C'est l'ensemble qui a le vent en poupe : "Choc" de Classica et Victoire de la musique classique pour son disque Köthener Trauermusik de Bach (...) La tenue de l'orchestre comme l'homogénéité et la clarté du choeur incitent à réviser quelques classiques comme la Messe en ut mineur de Mozart.

The Telegraph (United Kingdom)

23 mai 2015

Performance under the direction of Raphaël Pichon is excellent: clean, precise, refined and airy, cast with largely Francophone singers who have insctictive understanding of Rameau's rhytmic vocabulary as well as superb clarity of diction.

Opera Magazine (France)

Mai 2015

D'emblée, on est frappé et séduit par l'énergie et le dynamisme des forces de Pygmalion, qui rendent la musique présente et vibrante, proche de l'auditeur : nulle préciosité, nul maniérisme, mais une volonté de faire surgir des notes un théâtre vivant.

Télérama (France)

20 mai 2015

Ce Castor et Pollux, version de 1754, confirme la suprématie instrumentale de l'ensemble Pygmalion (du violon solo raffiné de Sophie Gent, aux percussions martiales de Sylvain Fabre). La distribution vocale réunit des talents neufs, aussi jeunes que vigoureux, à la personnalité bien trempée. En particulier le Pollux indomptable de Florian Sempey, et la Phébé dévastatrice de Clémentine Margaine.

OperaJournal

May 15th 2015

There are moments of sheer wonder here (...) the libretto is beautifully articulated by some beautiful and appropriately pitched voices.

El arte de la fuga (Spain)

14 junio 2015

Esta grabación tiene muchísimo que disfrutar y se sitúa con facilidad como referencia (...) conocida es la calidad de los músicos, así vocales como instrumentales, habituales de Pygmalion; y en esta ocasión se muestran al máximo nivel.

Le Figaro (France)

7 mai 2015

Ce sont trois heures et demi de pur bonheur instrumental et vocal que l'on a connues grâce à Raphaël Pichon et à une distribution d'un niveau stratosphérique.

Forumopéra.com

5 mai 2015

Rarement Raphaël Pichon se sera montré aussi soucieux d’équilibre et d’harmonie, dans sa direction, avec la dose bienvenue de théâtralité que favorise le passage du concert à une production en décors et costumes.

Opera World

29 abril 2015

La mezzo soprano Gaëlle Arquez fue una estupenda intérprete de la princesa Iphise. Voz amplia, atractiva y cantando con gran expresividad y emoción, sin olvidar la declamación, tan importante en este género (...) El Ensemble Pygmalion es un magnifico conjunto, formado por orquesta y coro, que han ofrecido una gran ctuación a las órdenes de su director.

Diapasonmag

29 avril 2015

A l'animation fantasque de la scène répond le charme harmonieux de la fosse, où Pichon s'attache obstinément à tout nuancer.

Opera Online

28 avril 2015

Dès l'ouverture - virtuose et virevoltante -, on admire chez le chef versaillais la notable précision de la battue et un grand souci des timbres instrumentaux (...) Bref, la qualité du travail sur l'orchestre (foisonnant de couleurs) et sur le choeur - brillant et irréprochable - soutient cette musique délicatement subtile avec infiniment d'élégance et de raffinement.

Operatraveller

27 April 2015

Vocally, it’s hard to imagine a better performance (...) This was a masterful reading from a conductor who really understands this music.

WebThéâtre

26 avril 2015

A 31 ans Pichon s’inscrit déjà dans la lignée des grands chefs. Il en a l’intuition, la rigueur, la fidélité aux œuvres qu’il sert. Son enthousiasme est contagieux, et son charisme s’étend jusqu’aux bouts de ses doigts. Il dirige à mains nues, les instrumentistes de son Pygmalion ont les yeux rivés sur ces doigts qui tracent les respirations de la musique. Les ornements baroques de Rameau jaillissent avec fougue, en danses et en vie.

Forumopéra.com

26 avril 2015

La musique de Dardanus jaillit spontanée, limpide, fluide, vive, alerte, savante mais toujours juvénile. 

Les Echos (France)

23 avril 2015

Ce spectacle particulièrement réussi connaît un accomplissement musical de même niveau grâce à une distribution de rêve (...) Raphaël Pichon écoute les moindres inflexions des chanteurs et fait montre d'une rare sensibilité.

 

Le Monde (France)

23 avril 2015

A 31 ans, Raphaël Pichon, le jeune chef de l’ensemble Pygmalion Chœur et Orchestre, s’est imposé comme l’un des grands rhétoriqueurs de la nouvelle génération. Rameau fait partie de son ordinaire. Il connaît son Dardanus sur le bout des doigts (...) Sa direction amoureuse possède du sprinteur la fougue jubilatoire et la constance du coureur de fond.
 

Concertclassic

Avril 2015

La complicité entre le plateau et la fosse s’avère exemplaire. A la tête d’un Ensemble Pygmalion à son meilleur, Raphaël Pichon conduit Dardanus avec enthousiasme et raffinement. Il sait sonder les détails, faire sonner avec toute leur saveur et leur plénitude les harmonies, sans se départir un seul instant d’un drive et d’une précision rythmique admirables. Allier avec pareille maestria imagination poétique, sens dramatique et autorité à tout juste plus de trente ans… Chapeau bas !

Cadences (France)

Avril 2015

Portrait de Raphaël Pichon

La Lettre de l'Académie des Beaux-Arts

Printemps 2015

Interview de Raphaël Pichon : "notre métier d'artisan de la musique".

MusicWeb International

February 2015

Under the direction of Raphaël Pichon the singing and orchestral playing is absolutely first class.

NRC (Netherlands)

17 november 2014

Dirigent Raphaël Pichon en zijn ensemble Pygmalion besteedden drie jaar aan hun re- constructie en door alle echo’s uit Bachs oeuvre hoor je muziek van overtuigende eenheid. De voorbeeldige uitgave van dit cu- riosium biedt ook boeiende achtergrondinformatie.

Rondo (Germany)

15. November 2014

Denn was den empfindsamen und erhabenen, den schwebenden und überhaupt traumwandlerisch klangschönen Zugriff angeht, mit dem sich Pichon, sein Ensemble Pygmalion und ein exquisites Sängerquartett für diese musikhistorische Annäherung einsetzen, kann man nur zu einem Schluss kommen : Genau so muss es im März 1729 in der Köthener Jakobikirche geklunden haben.

Le temps (Switzerland)

15 novembre 2014

Que cette reconstitution soit justifiée ou non, l'interprétation est splendide. Choeur et musiciens sont unis dans un même élan. Les solistes sont de haut vol (lumineuse Sabine Devieilhe, très éloquent Damien Guillon, Christian Immler au timbre noble...).

Le devoir (Canada)

14 novembre 2014

Le verdict musical est limpide : ça marche ! Et non seulement ce qu'on entend convainc parfaitement, mais c'est magnifiquement coloré, vocalement et instrumentalement.

Leeuwarder (Netherlands)

14 november 2014

De muziek, met ook nog deeltjes uit Bachs Hohe Messe, klinkt vertrouwd, de teksten zijn de oorspronkelijke van de treurcantate maar belangrijker nog: het geheel klinkt fantastisch: sprankelend, soms zelfs aanstekelijk. Pygmalion maakt Bachs beeldschone Köthener Trauermusik, gecatalogiseerd als BWV 224a, op deze cd voortreffelijk hoorbaar. Erbarme dich heet hier Erhalte mich. Een geweldige aan- winst voor Bach-liefhebbers.

Klassieke Muziek (Netherlands)

14 november 2014

Flink beroerd worden bij Bach.

Forum Opera (France)

10 novembre 2014

L'homogénéité des instrumentistes de l'Ensemble Pygmalion, la rondeur des timbres, sont ici parfaitement mises en valeur par la direction idéalement souple et rythmée du chef.

the Guardian (United Kingdom)

November 9th 2014

The performances under Raphaël Pichon are lithe and sprightly, almost too cheerful, but always transparent, with alto Damien Guillon outstanding.

Interlude (Hong Kong)

November 9th 2014

Raphaël Pichon is breathing new life into "old" music.

Classica (France)

Novembre 2014

Bien plus qu'une anthologie des plus belles pages de Bach, cette "Köthener Trauermusik" s'impose par la puissance et l'intensité de son interprétation.

GP (Sweden)

7 november 2014

Harmonia Mundis senaste Bach-cd – begravningskantaten för Bachs tidigare arbetsgivare prins Leopold av Anhalt-Köthen – är den första på bolaget för ensemble Pygmalion och unge dirigenten Raphaël Pichon.

Musikzen (France)

5 novembre 2014

Si l'histoire est passionnante, le résultat l'est tout autant. Indépendamment du jeu de piste qui constitue une sorte de défi pour les connaisseurs de Bach, c'est l'interprétation qui emporte l'adhésion, choeurs splendides, solistes éblouissants, orchestre subtil, direction à la fois rigoureuse et pleine d'allant. Aussi paradoxal que ça puisse paraître, l'Ensemble Pygmalion donne à cette musique funèbre une grande vitalité.

Pizzicato (Luxembourg)

5 November 2014

Chor und Orchester verschmelzen zu einer perfekten Einheit und beschenken uns mit vielen bewegenden Momenten.