Press review
The Daily Telegraph
24 août 2019
This release is a marvel!
Télérama
18 octobre 2018
Orphée et Eurydice offre donc un rare bonheur vocal, qui s'élargit à l'ensemble de la distribution musicale. On admire de bout en bout le chœur de l'ensemble Pygmalion, capable de chanter clair et juste dans les positions les plus inconfortables. Sous la direction enfiévrée de Raphaël Pichon, l'orchestre semble littéralement transporté par la partition de Gluck.
Les Echos
17 octobre 2018
Dans la fosse et sur scène, le chœur et l'orchestre Pygmalion se montrent exemplaires de justesse, d'homogénéité, de couleur et de nuance. On admire autant la netteté des voix que l'élégance des phrasés des vents (flûtes, bassons) menés avec un sens milliétré de la narration et du contraste par Raphaël Pichon.
Concertclassic.com
15 octobre 2018
Quant à Pygmalion, pour sa partie chœur, l'ensemble force l'admiration tant par la qualité de son interprétation que son engagement dans une production scéniquement exigeante. Dans la fosse, Raphaël Pichon peut compter sur des instrumentistes d'un niveau exceptionnel et sonde la partition avec une poésie, une noblesse et un sens du drame simplement bouleversants.
Bachtrack
15 octobre 2018
Casting mêlant grandes stars et jeunes talents, mise en scène pleine d'épure, de sensibilité et de fulgurations géniales, et Raphaël Pichon à la tête d'un irréprochable ensemble Pygmalion : à l'Opéra-Comique, la nouvelle production d'Orphée et Eurydice de Gluck est en tout point exemplaire.
Le Monde
15 juillet 2018
Cette flûte restera dans les annales pour la présence de l'Ensemble Pygmalion et son chef, Raphaël Pichon. Un Mozart fluide et naturel, qui vit et respire avec une spontanéité semblant se jouer d'elle-même, alliance de vivacité, de poésie, de rondeur, d'intelligence et de fraîcheur. Sous la baguette de Pichon, le cœur immortel de Mozart.
Olyrix
7 juillet 2018
La direction musicale de l'ensemble et des chœurs Pygmalion est due à un maître de cérémonie lyrique totalement investi, le jeune chef Raphaël Pichon. (...) Les couleurs historiques des instruments jouent une palette originelle tout en regardant vers l'avenir. Le chœur y ajoute ses volumes colorés, en parfaite continuité avec la scène et la fosse.
Classica
Avril 2018
On signalera la perfection de la mise en place, la justesse absolue et une intensité expressive de chaque instant.
Süddeutsche Zeitung
28 mars 2018
Raphaël Pichon ist der derzeit beste Bach-Dirigent
The Times
9 mars 2018
Helped by the recording's acoustic, everything here sounds deliciously spine-chilling, from the growls and twangs of Pygmalion's period instruments to Degout's throbbing anguish and the passionate outpourings of the French mezzo-soprano Sylvie Brunet-Grupposo.
Opera Magazine
Mars 2018
Pichon et ses complices confèrent à chaque air ses contrastes et ses couleurs, à chaque phrasé ses tensions, des angoisses et terreurs du début à l'apaisement final. Des pages sombres, dramatiques, magnifiées par une vision théâtrale qui empoigne l'auditeur pour ne plus le lâcher (le chœur est un modèle de finesse et d'homogénéité).
ResMusica
26 janvier 2018
La lecture magistrale de l'Ensemble Pygmalion y est pour beaucoup dans ce travail de décapage et de redécouverte, et l'on aurait presque envie de nommer tous les instrumentistes (...) tant le mérite semble revenir en grande partie à l'esprit de groupe et de communion qui anime les interprètes.
Classiquenews.com
25 novembre 2017
On ne peut qu'admirer le travail préparatoire réalisé en amont tant avec le chœur qu'avec l'orchestre. Orchestre qui se montre d'ailleurs absolument remarquable en tous points : introductions parfaites, accompagnement tout en souplesse, direction souple, précise, dynamique.
ResMusica
11juillet 2017
Délice absolu que ce dernier coffret de Pygmalion intitulé à juste titre Stravaganza d'Amore !, vaste fresque historique et lyrique florentine de la fin du XVIème siècle. (...) Pour les amoureux d'opéra ou les autres, cet enregistrement inventif et audacieux se révèle incontournable, assurément.
Opéra Magazine
1er juillet 2017
Encore une fulgurante réussite à mettre au crédit de Raphaël Pichon et son ensemble Pygmalion qui, en l'espace de dix ans, se sont imposés aux tout premiers rangs des formations dites "baroques". A goûter sans modération !
Diapason
1er juillet 2017
Que de splendeurs, à redécouvrir ! Notre jeune chef a réuni un plateau de rêve : sept voix solistes parmi les plus prometteuses de la jeune génération, un chœur aussi solide qu'attentif de vingt-quatre chanteurs, en regard de vingt-cinq instrumentistes éblouissants.
Classica
1er juillet 2017
Raphaël Pichon conduit d'un geste noble et concentré son ensemble Pygmalion, agrémenté d'une superbe formation de cornets et de sacquenoutes, sans jamais tomber dans l'ornière de la virtuosité creuse ou dans celle d'un mouvement anémié.
Télérama
19 juin 2017
Remarquable par sa clarté autant que par son agilité, le chœur de l'Ensemble Pygmalion décompose et recompose son effectif selon les pièces, qui sollicitent aussi des voix solistes, toutes belles et bien caractérisées. (...) En accord avec les voix, l'orchestre se joue avec maestria de la virtuosité de l'instrumentation.
Le Monde
9 juin 2017
Raphaël Pichon, totalement adonné, sert Monteverdi avec une plénitude concentrée et un lyrisme sans abandon. Sobre, tendre et passionné.
Sud Ouest
13 mars 2017
L'ensemble Pygmalion sublime une variété de timbres et de couleurs rare dans les opéras de cette époque, et Raphaël Pichon a, en reconstituant la partition, mis au point un continuo débordant d'imagination.
Olyrix
7 décembre 2016
Dans cette œuvre, le Chœur de l'Ensemble Pygmalion, composé d'une quarantaine de chanteurs, est prépondérant. (...) Omniprésent, il est aussi beau dans son dialogue avec les solistes, dans ses interventions a capella que dans les puissants chœurs qui concluent chacune des deux parties de l'opus.
Classique mais pas has been
5 décembre 2016
La recette Pichon est un mélange d’hommage rendu à ses aînés et de fougueuse jeunesse. Il était donc totalement dans son élément avec « Elias » de Mendelssohn (1809-1847) : ce dimanche à Bordeaux, le chœur et les musiciens ont pris avec succès ce nouveau virage stylistique qu’ils préparent depuis plusieurs programme et plusieurs disques
ResMusica
13 septembre 2016
Dix ans déjà ! Dix ans que Raphaël Pichon et son ensemble se sont lancés dans l’aventure. Dix ans de travail tant de programmation que d’interprétation. Le premier disque, en 2008, était consacré à deux Messes brèves de Bach. Le succès a été immédiatement au rendez-vous. Succès aussi, pour ce même programme à… La Chaise-Dieu où l’ensemble est invité depuis 2007.
Destimed
18 juillet 2016
Cet ensemble fête ses dix ans d’existence cette année et s’impose comme l’un des meilleurs au monde, voire le meilleur selon les esthètes, dans l’interprétation des œuvres de Bach, Raphaël Pichon, lui, s’imposant à 32 ans comme l’un des spécialistes incontournables du cantor de Leipzig en particulier, ainsi que de la période baroque et post-baroque en général.
Bachtrack
25 mars 2016
Bei ihrem Debüt in der Kölner Philharmonie geriet das Opus Summum trotz der Passionsgeschichte Jesu im Vergleich zur Johannespassion, die Pichon etwas zäh gestaltete, zu einem scheinbar anachronistischen Quell erlösender, gottvertrauender Lebendigkeit durch dankenswert angenehme Flüssigkeit, ohne an Tiefe einzusparen.
Le Monde
17 février 2016
Un plateau vocal homogène avec des chœurs de rêve, un orchestre gorgé de couleurs et de sève, une reconstitution intelligemment recentrée sur la dramaturgie (élimination du prologue allégorique et du chœur final, des ballets) par Raphaël Pichon et Miguel Henry : l’ensemble Pygmalion, qui fêtera ses 10 ans en avril, a, d’ores et déjà, tenu ses belles promesses.
Le Figaro
Un choc musical! C'est certainement ce qu'ont dû ressentir les spectateurs au sortir de la première représentation de l'Orfeo de Rossi le 2 mars 1647, au Théâtre de la reine du Palais-Royal à Paris.
Forum Opéra
20 février 2016
Dans la fosse, l’opulence des textures et des alliages nous convie à un festin sonore, mais c’est avec un même sens aigu du théâtre que Raphaël Pichon dirige chanteurs et instrumentistes et pétrit cette matière inouïe, l’affinant jusqu’au murmure, jusqu’au silence, mais un silence chargé et infiniment suggestif.
Opéra Magazine
19 février 2016
De productie van Mijnssen ging op 4 februari in première onder begeleiding van het gerenommeerde Ensemble Pygmalion, geleid door Raphaël Pichon. Speciaal voor de voorstelling had het ensemble nieuwe, korte strijkstokken laten maken, om zo de klank van Rossi nog meer te benaderen.
La Croix
17 février 2016
Le plateau vocal, homogène, le choeur et l'orchestre Pygmalion dans une forme éblouissante sont dirigés au doigt et à l'oeil par Raphaël Pichon : le talent du chef explose notamment dans les ensembles (...) et les plages instrumentales chatoyantes, ravivant cette italianité baroque qui fit si forte impression sur le tout jeune Louis XIV (...).
La Libre
8 février 2016
Exhumée à Pérouse en 1984, puis à quelques autres occasions, l’œuvre n’avait jamais été redonnée en France (...). Belle idée de l’Opéra de Lorraine que d’en confier la résurrection au chef (et ex-chanteur) Raphaël Pichon, à la tête d’un Ensemble Pygmalion riche d’une trentaine de musiciens et d’une belle distribution.
Diapason
8 février 2016
Le spectacle de Jetske Mijnssen repose sur une lecture simplifiée et d'une grande lisibilité. Dans un décor unique en bois, rappelant le théâtre du Globe, évoluent les personnages vêtus de costumes modernes. L'intemporalité de la fable est ainsi préservée, tout en ménageant de belles surprises (...).
ResMusica
7 février 201
Absolu maître d’œuvre de cette recréation, Raphaël Pichon parachève la réussite par sa direction large et souple, constamment attentive à la scène et y répondant par les ambiances adéquates. Son orchestre, l’Ensemble Pygmalion, bénéficiant d’une surélévation de la fosse, offre une plénitude du son, une fusion des timbres et une homogénéité des pupitres auxquelles les formations d’instruments anciens ne nous ont pas toujours habitués. Enfin, le Chœur de l’Ensemble Pygmalion semble se jouer des polyphonies pourtant complexes que Luigi Rossi lui a réservées.
Forum Opéra
4 février 2016
Troisième pilier du spectacle, l’orchestre luxuriant que dirige Raphaël Pichon. L’émerveillement que causa en 1647 la machinerie de Torelli vient en 2016 des richesses dispensées par l’ensemble Pygmalion, et aux instrumentistes on associera le chœur, particulièrement admirable dans les diverses déplorations que suscite la mort d’Eurydice.
Toutelaculture.com
18 novembre 2015
Rigueur, dynamisme, légèreté et clarté caractérisent la façon qu’ont l’ensemble Pygmalion et Raphaël Pichon de servir cette musique à la fois spirituelle et sensuelle (...). L’exécution du motet « Loben den Herrn, alle Heiden » BWV 230, fut particulièrement représentative de cette impression de grâce.
Bachtrack.com
8 novembre 2015
En se laissant emporter par l’enchaînement de ces somptueuses musiques funéraires, on se rend compte que ce qui émeut dans cette soirée, c’est le fait qu’absolument toutes les notes sont habitées, jouées ou chantées avec une expressivité non artificielle, grâce au travail mené très en profondeur par Raphaël Pichon.
Qobuz
5 novembre 2015
Dans la sévérité a capella d’une sorte de grégorien gallican, s’est fait entendre le plus auguste chant funèbre qui soit, merveille à la fois d’inspiration et d’exécution. Les admirables chœurs de Pygmalion — Cécile Scheen, Lucile Richardot, Samuel Boden, Marc Mauillon, Christian Immler —, tous il faut les citer, les complimenter, leur dire merci.
Classica (France)
Juin 2015
C'est l'ensemble qui a le vent en poupe : "Choc" de Classica et Victoire de la musique classique pour son disque Köthener Trauermusik de Bach (...) La tenue de l'orchestre comme l'homogénéité et la clarté du choeur incitent à réviser quelques classiques comme la Messe en ut mineur de Mozart.
Télérama (France)
20 mai 2015
Ce Castor et Pollux, version de 1754, confirme la suprématie instrumentale de l'ensemble Pygmalion (du violon solo raffiné de Sophie Gent, aux percussions martiales de Sylvain Fabre). La distribution vocale réunit des talents neufs, aussi jeunes que vigoureux, à la personnalité bien trempée. En particulier le Pollux indomptable de Florian Sempey, et la Phébé dévastatrice de Clémentine Margaine.
Opera World
29 abril 2015
La mezzo soprano Gaëlle Arquez fue una estupenda intérprete de la princesa Iphise. Voz amplia, atractiva y cantando con gran expresividad y emoción, sin olvidar la declamación, tan importante en este género (...) El Ensemble Pygmalion es un magnifico conjunto, formado por orquesta y coro, que han ofrecido una gran ctuación a las órdenes de su director.
Opera Online
28 avril 2015
Dès l'ouverture - virtuose et virevoltante -, on admire chez le chef versaillais la notable précision de la battue et un grand souci des timbres instrumentaux (...) Bref, la qualité du travail sur l'orchestre (foisonnant de couleurs) et sur le choeur - brillant et irréprochable - soutient cette musique délicatement subtile avec infiniment d'élégance et de raffinement.
WebThéâtre
26 avril 2015
A 31 ans Pichon s’inscrit déjà dans la lignée des grands chefs. Il en a l’intuition, la rigueur, la fidélité aux œuvres qu’il sert. Son enthousiasme est contagieux, et son charisme s’étend jusqu’aux bouts de ses doigts. Il dirige à mains nues, les instrumentistes de son Pygmalion ont les yeux rivés sur ces doigts qui tracent les respirations de la musique. Les ornements baroques de Rameau jaillissent avec fougue, en danses et en vie.
Le Monde (France)
23 avril 2015
A 31 ans, Raphaël Pichon, le jeune chef de l’ensemble Pygmalion Chœur et Orchestre, s’est imposé comme l’un des grands rhétoriqueurs de la nouvelle génération. Rameau fait partie de son ordinaire. Il connaît son Dardanus sur le bout des doigts (...) Sa direction amoureuse possède du sprinteur la fougue jubilatoire et la constance du coureur de fond.
Concertclassic
Avril 2015
La complicité entre le plateau et la fosse s’avère exemplaire. A la tête d’un Ensemble Pygmalion à son meilleur, Raphaël Pichon conduit Dardanus avec enthousiasme et raffinement. Il sait sonder les détails, faire sonner avec toute leur saveur et leur plénitude les harmonies, sans se départir un seul instant d’un drive et d’une précision rythmique admirables. Allier avec pareille maestria imagination poétique, sens dramatique et autorité à tout juste plus de trente ans… Chapeau bas !
Rondo (Germany)
15. November 2014
Denn was den empfindsamen und erhabenen, den schwebenden und überhaupt traumwandlerisch klangschönen Zugriff angeht, mit dem sich Pichon, sein Ensemble Pygmalion und ein exquisites Sängerquartett für diese musikhistorische Annäherung einsetzen, kann man nur zu einem Schluss kommen : Genau so muss es im März 1729 in der Köthener Jakobikirche geklunden haben.
Le temps (Switzerland)
15 novembre 2014
Que cette reconstitution soit justifiée ou non, l'interprétation est splendide. Choeur et musiciens sont unis dans un même élan. Les solistes sont de haut vol (lumineuse Sabine Devieilhe, très éloquent Damien Guillon, Christian Immler au timbre noble...).
Leeuwarder (Netherlands)
14 november 2014
De muziek, met ook nog deeltjes uit Bachs Hohe Messe, klinkt vertrouwd, de teksten zijn de oorspronkelijke van de treurcantate maar belangrijker nog: het geheel klinkt fantastisch: sprankelend, soms zelfs aanstekelijk. Pygmalion maakt Bachs beeldschone Köthener Trauermusik, gecatalogiseerd als BWV 224a, op deze cd voortreffelijk hoorbaar. Erbarme dich heet hier Erhalte mich. Een geweldige aan- winst voor Bach-liefhebbers.
Klassieke Muziek (Netherlands)
14 november 2014
Flink beroerd worden bij Bach.
Classica (France)
Novembre 2014
Bien plus qu'une anthologie des plus belles pages de Bach, cette "Köthener Trauermusik" s'impose par la puissance et l'intensité de son interprétation.
GP (Sweden)
7 november 2014
Harmonia Mundis senaste Bach-cd – begravningskantaten för Bachs tidigare arbetsgivare prins Leopold av Anhalt-Köthen – är den första på bolaget för ensemble Pygmalion och unge dirigenten Raphaël Pichon.
Musikzen (France)
5 novembre 2014
Si l'histoire est passionnante, le résultat l'est tout autant. Indépendamment du jeu de piste qui constitue une sorte de défi pour les connaisseurs de Bach, c'est l'interprétation qui emporte l'adhésion, choeurs splendides, solistes éblouissants, orchestre subtil, direction à la fois rigoureuse et pleine d'allant. Aussi paradoxal que ça puisse paraître, l'Ensemble Pygmalion donne à cette musique funèbre une grande vitalité.